La Conceptrice

Madame RAKOTOARISOA-ANDRIANTSIFARITANA Ihary Mireille, née le 24 juillet 1967 à PARIS 14ème, est avant tout Physiothérapeute (D.E Allemande), une Thérapeute Énergétique, Traditionnelle, Quantique et Holistique, ayant plus de 33 ans d’expériences dans le domaine du bien-être et plus de 15 ans en tant que Gérante de sociétés.

 

Ses atouts et motivations

A part ses expériences et acquis professionnels dans le domaine des soins énergétiques et du bien-être, elle a eu la chance de rencontrer et de travailler avec des éminents spécialistes du monde entier tels que : le Prof. Park Jae Woo (Fondateur de la médecine Onnuri), Dr. Balladi (Pharmacopée - Acupuncteur - Masseur Kinésithérapeute et Ostéopathe - Paris), Pierre Marichal (Praticien Hypnose Eriksonnienne, Maître praticien en PNL), Guy Monjo - Auteur (comprendre les maux) /Praticien/Enseignant en Médecine de la Réflexologie faciale dien'cham - Paris)...

 

Son point fort

Enfin, il est important de souligner que c’est sa passion à tout ce qui touche à l’équilibrage énergétique et revitalisante pour donner du bonheur à ses patients qui la motive dans son métier.  Actuellement, elle perçoit qu’un réel besoin de ce bien-être se fait sentir auprès de la population réunionnaise.

 

En conclusion :
Des habitudes inadaptées au fonctionnement de votre organisme vont créer des états de surchauffe, de froid, de stagnation, de faiblesse ou de plénitude sur certaines zones de votre corps ou sur son ensemble.
Le mauvais fonctionnement peut générer toutes sortes de malaises, de douleurs.

Le but des techniques énergétique est de prendre le contre pied de cet état et de faire en sorte de revenir à la normale, à l'équilibre. Les explications sont accessibles à tous et primordiales pour la santé. Du nouveau né à la personne âgée, la santé n'est pas un standard, le repos et la récupération doivent être dirigés pour un résultat optimum et utile.

PRÉSENTATION DU PROJET.

Le CONCEPT

 

A1.1. Les besoins de la clientèle :

Les entreprises auraient tout à y gagner. Elles sont de plus en plus nombreuses à prendre le problème à bras le corps… avec plus ou moins de bonheur. Le but c’est de réconcilier Bonheur et Travail.

 

A1.2. Un concept innovant :

Le concept préconisé par Madame RAKOTOARISOA-ANDRIANTSIFARITANA   Ihary Mireille est novateur à La Réunion car il s’agit de convaincre les Employeurs que les salariés bien dans leur peau étaient plus productifs que ceux qui sont malheureux."

Se préoccuper du bien-être de ses salariés n'est donc plus une option : c'est une nécessité !

 

A2. La genèse de l’idée

Madame RAKOTOARISOA-ANDRIANTSIFARITANA Ihary Mireille était sensible à la vague de suicides chez France Télécom – en 2008 et 2009 où 35 salariés du groupe se sont donné la mort.  Malheureusement, ce cas, a effet d'un électrochoc, n’est pas isolé mais a tendance à se généraliser, alertant plus d’un au cercle du patronat.

 

Madame RAKOTOARISOA-ANDRIANTSIFARITANA Ihary Mireille a perçu que les nouvelles générations, en quête d'un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, font du bien-être un enjeu central du travail : "Pour attirer les plus jeunes collaborateurs, la rémunération ne suffit plus. Un environnement de travail favorable est indispensable pour leur donner envie de rester", résume Laurence Breton-Kueny, vice-présidente de l'Association nationale des directeurs des ressources humaines et DRH du groupe Afnor.

 

Autre facteur qui joue en faveur d'une meilleure prise en compte de la qualité de vie au boulot : entre le recul de l'âge de départ à la retraite et l'allongement de la durée de vie professionnelle, "il va falloir apprendre à gérer les seniors en entreprise, relève Laurence Breton-Kueny.

 

Autrement dit, améliorer les conditions de travail et anticiper des coûts plus élevés en termes de prévention des pathologies, de mutuelles et de prévoyance

Partout dans le monde, les salariés souffrent de stress, un sur deux ressent une fatigue liée à une surcharge de travail et 63% se disent potentiellement concernés par le risque d'épuisement professionnel.

Voilà les chiffres, plutôt inquiétants, d'une étude publiée en février par BVA-BPI Group ("Baromètre des salariés, la santé et le bien-être au travail"). Plus grave peut-être : selon la même enquête, seuls 15% des salariés interrogés constatent une implication de leur entreprise pour améliorer leur qualité de vie. Pourtant, côté employeur, la question du bien-être sur le lieu de travail n'est pas nouvelle. "Elle se pose depuis les débuts du taylorisme, rappelle Danièle Linhart, sociologue, spécialiste de l'évolution du travail et directrice de recherche au CNRS

Souvent banalisé, le mal-être du «stressé» doit désormais être pris en compte par tout chef d'entreprise. Le stress doit être vu comme la manifestation de dysfonctionnements plus généraux dans l'entreprise. Sa prévention doit donc s'inscrire dans le cadre du plan de prévention des risques professionnels mené par tout chef d'entreprise.

 

Avant toute démarche de prévention, celui-ci doit d'abord prendre conscience qu'il y a un problème et comprendre quelles en sont les conséquences pour sa société. Pour cela, il semble opportun de définir ce qu'est le stress en entreprise.

Selon l'agence européenne pour la sécurité et la santé au travail, le stress survient lorsqu'il y a déséquilibre entre la perception qu'une personne a des contraintes que lui impose son environnement et celle qu'elle a de ses propres ressources pour y faire face. Le stress n'affecte pas seulement la personne d'un point de vue psychologique, il a également un impact sur sa santé physique, son bien-être et par conséquent sa productivité.

Le stress peut découler de trois facteurs, généralement concomitants. Il peut s'agir de situations de travail contraignantes qui vont favoriser l'apparition de l'état de stress ; d'une personne qui va réagir de manière plus ou moins prononcée à ce qui lui pose problème, à la fois avec son corps et son psychisme; et enfin des effets observables sur les comportements ou la santé de la personne et sur l'entreprise, si la situation concerne un nombre important de salariés.

Plus question de se tuer au boulot !

Sans doute parce que la question de la façon dont on vit au travail n'a jamais été aussi sensible. "Ce qui est nouveau, c'est que le bien-être au travail est officiellement devenu une question légitime, observe Dominique Steiler, directeur associé de Grenoble École de Management et titulaire de la chaire paix économique, bien-être au travail et Mindfulness. En Occident, la culture judéo-chrétienne a toujours considéré que le travail doit être une souffrance. On se rend dans un lieu de souffrance pour gagner son droit au repos." Une conception doloriste désormais largement battue en brèche. Plus question de se tuer au travail !

La révolution du bien-être

Depuis quelques années des chief happiness officers. Comprenez : des responsables du bonheur au travail. "Leur job, c'est d'améliorer la qualité de vie des salariés, définit Catherine Testa, cofondatrice du Club CHO, un club de réflexion sur l'avenir du travail. Ils planchent sur l'accompagnement des salariés au changement. Ils vont utiliser des outils comme la formation ou le design thinking (appliquer les méthodes d'un designer pour résoudre un problème), travailler en concertation avec les RH, revoir l'environnement de travail, etc." Le poste a, certes, une définition très variable selon les entreprises.